Nom: Dynomazukarue

Prénom: Shyome

Âge: 17 ans

Sexe: Féminin

Affinitée choisie au début: Suiton, Raiton, Fuuton

Description physique : Cette jeune chef des anbus est une femme assez magnifique. Elle est grande et est mince. Elle a une poitrine assez généreuse et un beau ventre. Shyome a de magnifiques yeux bleus comme de l'eau. Ses cheveux sont longs, soyeux et d'un blond magnifique. Elle a des lèvres et une peau très douces. Elle porte souvent des bijoux. Quand elle n'est pas avec son survêtement d'Anbus, elle met des vêtements serrés ou qui la mettent en valeur. Elle a un sourire charmeur et des yeux assez doux.

Description mentale : Shyome est une jeune femme qui n'a pas froid aux yeux. Elle accepte n'importe quelle mission, peu importe si elles sont dangeuresues ou pas. Elle adore prendre des risques et elle ne regrette jamais ce qu'elle accomplie. La jeune ninja, comme elle n'a aucune famille, protège son Kage avec une volonté farouche. Elle donnerait sa vie pour sauver la sienne. Elle est assez têtue et a une grande force de caractère, elle n'aime pas faire parraître des sentiments qui pourront la mettre en état d'infériorité. Shyome a beaucoup de respect pour ceux qui se force pour obtenir ce qu'ils veulent. C'est une jeune femme avec beaucoup d'ambition et qui est très audacieuse.

Ninja ou Civil ? : Ninja

Village natal: Kuma

Village souhaité: Kiri

Histoire : Shyome est née dans le village caché et mystérieux de Kuma, le village de l'étoile. Ses deux parents, n'étant pas d'honnêtes gens, trempaient dans des affaires douteuses et ils furent tués à son bas âge. Très vite, elle fut éduquée par un maître du Taijutsu. Celui-ci lui enseigna son art dès l'âge de cinq ans et elle était donc devenue une experte. Rapidement, elle passa de genin à jounin expert et elle décida donc de partir de ce petit village, car la jeune fille avait beaucoup d'ambition. Elle alla dans le village de Kiri, où on l'accueillit à bras ouvert et on la placa tout de suite chez les anbus, car elle avait déjà un niveau très expérimenté. Elle était très liée à son Kage, et, comme elle avait un grand sentiment d'appartenance à ce village qui l'avait si bien accueillit, elle faisait tout ce qu'il demandait et donnait sa vie à le protéger et c'est en partie cela qui la rpojeta dans les grands échelons des ninjas. Quelques fois, quand son Kage avait du temps libre, il lui arrivait de lui apprendre certaines techniques et c'est comme cela qu'elle s'améliorait à chaque fois. Shyome avait maintenant 17 ans et elle avait été promue au grade de chef des anbus.

Test Rpg :

Shyome respirait avec difficulté. La chaleur était étouffante et pesante. L'humidité était affreusement écrasante. Elle regardait autour d'elle et remis son masque sur sa figure. Elle était une des anbus, et son Kage lui avait donné une mission d'infiltration dans le village de Ame. Elle devait prendre quelques dossiers sans se faire repérer, et à dâte, ça n'avait pas été chose facile, car elle était partie de rien. Personne ne savait où il était caché. Depuis, elle l'avait trouvé, mais elle avait du mal à atteindre l'entrée. Pour atteindre le village de Ame, il fallait d'abord traverser une immense forêt. Shyome s'était fait mangée par beaucoup d'insectes et elle avait dû survivre à de nombreux animaux savages qu'elle avait rencontré. Elle s'était nourrie avec ceux-ci et elle était maintenant rendue à l'entrée, mais celle-ci était gardée par quelques gardes. Shyome ne voulait pas utiliser tout son chakra, juste au cas-où, elle décida donc d'utiliser le Taijutsu. Puisqu'elle était maître en cette matière, elle allait pouvoir les immobiliser rapidement. Doucement, elle glissa vers un arbre et alla sur la droite du premier garde. Elle sortie une corde de fer silencieusement, et sans faire de bruit, elle passa la corde autour du coup du garde et l'amena vers l'arrière. Le garde s'agita un peu, mais Shyome l'étrangla totalement. Elle retourna vers l'entrée et s'approcha silencieusement de l'autre garde. Elle sortie un kunai, et le garde se retourna à ce moment-là. Il voulut crier, mais il n'en eut pas le temps, elle lui transperça la gorge de part en part avec son kunai. Elle tira le garde dans un buisson et entra dans le village. Bizarrement, le village était calme. Elle entendait quelques crient d'enfants, mais tout restait calme. Les maisons étaient avec des toits résistants à la pluie et le reste était fait de paille. La jeune femme ne comprenait pas pourquoi son Kage s'interessait temps à ce pauvre village, mais elle avait une mission à accomplir, et elle s'en fichait de ce que son Kage pourrait faire des informations qu'elle rapporterait. Elle se glissa dans les plus petites allées et trouva un bâtiment plus grand que les autres. Quelques ninjas patrouillaient sur les balcons et il y avait un lac juste à côté. Elle vit un tuyau de sortie de déchets du bâtiment qui allait directement dans l'eau. Elle passa encore par les petites allées pour contourner la bâtisse. Une fois dans la forêt qui était après le lac, elle enfila une combinaison noire et plongea silencieusement dans l'eau. L'eau était bonne, fraîche, mais ce n'était pas vraiment le moment d'apprécier sa douceur. Il faisait presque totalement noir et bientôt, elle ne verrait plus rien dans l'eau, il fallait donc qu'elle se dépêche. Shyome sortie la tête de l'eau pour reprendre son souffle et vit qu'elle n'était plus très loin du tuyau. Elle plonga encore une fois, s'approcha du tuyau. Il y avait beaucoup de déchets en suspension à cet endroit, mais elle n'y fit pas attention. Elle s'engoufra dans le tuyau et reprit son souffle. Celui-ci était incroyablement vertical et l'odeur n'y était pas du tout attrayante. Grâce à sa bonne maîtrise du Taijutsu, elle mit ses mains sur les parois du tuyau et ses pieds et commenca à grimper comme une araignée. Il y eut un moment où sa main glissa, mais elle se rattrapa rapidement. Quand elle fut rendue à la fin du tuyau, elle poussa une petite porte d'acier et tomba. Elle regarda autour d'elle et vît qu'elle avait attérit dans une cuisine. La jeune anbu enleva sa combinaison ce qui fit qu'elle ne mettait plus de traces d'eau et qu'elle ne sentait plus les poubelles. Silencieusement, elle sortie de la cuisine et regarda autour d'elle. Elle vit que les gardes étaient tous à l'extérieur et qu'il y en avait aucun à l'intérieur. Elle descendit dans le sous-sol et vit plusieurs portes fermées à clé. Shyome sortie de son sac une clé qu'elle utilisait pour ouvrir toutes les portes. Elle l'avait fabriquée elle-même, et c'était toujours très efficace pendant ses missions. Elle ouvrit l'une des portes et vit rien qu'un simple garde-robe. Elle alla alors vers une autres porte et entra dans la pièce. Celle-ci était incroyablement vaste et sombre. La jeune femme alluma sa lampe de poche et passa en revue la pièce. Il y avait plein d'étagères avec un nombre incroyable de dossiers.

''Bingo!!!'' dit -elle à voie basse.

La jeune femme passa en revue beaucoup d'étagères, regarda beaucoup de dossiers et tomba finalement sur celui qu'elle voulait trouver. Ce dossier parlait de l'état militaire et politique de ce village.

''Hey, qu'est-ce que vous faites-là?''

Shyome, se retourna d'un seul coup. Elle avait été tellement passionée dans sa lecture qu'elle n'avait pas entendu le ninja s'approcher. Elle le regarda et sourit.

''Fuuton Kaze no Yaiba''

Elle fit lever une lame de vent presque imparable et le ninja s'affaisa. Puis, elle entendit une alarme sonnée. Elle entendit plein d'hommes crier:

''Alarme rouge, les gars, alarme rouge!''

Puis elle les entendit courir.

*Et merde...ils ont dû découvrir les gardes beaucoup plus rapidement que prévu....*

Elle sortie de la pièce des dossiers et commenca à courir dans les différents couloirs. Elle ne pouvait plus sortir par le tuyau des déchets, le dossier allait être mouillé. Elle rencontra pas mal de gardes.

''Suiton Daibakufu''

Un raz de marée se créa et emporta la plupart de ses opposants. La jeune femme sortie par l'entrée principale et elle entendit plusieurs gardes courir après elle.

''Arrêtez!!!''

Mais, elle n'écoutait plus. Elle courait comme une défoncée et s'enfoncait dans les bois, Elle sautait sur les branches des arbres et comme elle avait une meilleure technique de Taijutsu que ses poursuivants, elle allait plus vite et se fondait beaucoup mieux dans le décor que ceux-ci.

3 mois plus tard

Shyome entra enfin dans son village. Cela faisait longtemps qu'elle l'avait quitté, et cela faisait un bien fou de revoir sa population. Elle alla directement dans les bureaux du Kage. Elle entra dans la pièce, celui-ci se retourna et elle déposa le dossier sur son bureau. Le Kage le regarda, le prit dans ses mains et sourit. Il leva ensuite les yeux vers elle.

''Tu sais ce que j'aime chez toi Shyome? C'est que tu fais toujours les choses à la perfection...je suis fière de toi...encore une autre mission de réussie...ce qui ne m'étonne plus vraiment je dois dire...''

Shyome sourit et fit une révérence.

''Merci du compliment monsieur.''

''Prends quelques jours de congé, on se reparlera après.''

Et après s'être reposée plusieurs jours, elle fut graduée au grade de chef des anbus.

Avant que je te valide fait ton histoire.

BONNE COURAGE!!!

voilà...

Pour info, ton test rp te permet d'être Chunnin !

VALIDE


BIENVENU A TOI SHYOME

Je vais essayer, mais finalement, je suis quel rang?

Chunnin mais en fessant des missions ou des entrainement tu peut passer au niveaux superieur.

SINON IL Y A UN TOURNOI VIENT T Y INSCRIRE SI TU VEUT.

J'espère que ce RP me mettra chef des Anbus


Test RPG

Maïkaru regardait autour de lui avec un mélange de peur et anxiété. Il se demandait ce qu’il faisait içi, et pourquoi voulait-on de lui. L’homme dans la trentaine ne se souvenait pas de beaucoup de choses. Il avait embrassé sa femme et était sortit de la maison quand une brume s’est levée et plus rien. Maïkaru soupçonnait qu’on l’avait assomé, mais dans quel but? C’est vrai qu’il ne faisait pas toujours des affaires très nets, sa femme non plus, elle l’aidait dans la contre-bande et le vol, mais personne n’était au courant de leur travail…en principe…Maïkaru soupira et regarda l’endroit où on l’avait emmené. C’était…il ne pouvait le dire…si c’était une pièce, un dongon..de forme carrée ou circulaire…il n’en avait aucune idée, il y faisait trop sombre. Il ne discernait même pas les parties de son corps. Ce qu’il pouvait en dire c’est que sa prison, comme il l’appellait, sentait extrèment mauvais et ue parfois il entendait des petits bruits, sûrment des rats ou des souris.


¨Alors, monsieur Dynomazukarue, cette pièce vous plaît-elle?¨ s’éleva une voix dans l’ombre. Cette voix était puissante, froide, dénouée de pitié, imposante, autoritaire avec une pointe d’humour, mais une pointe d’humour à faire frissoner un mort. Juste d’après ses quelques détails, Maïkaru s’avait déjà que cette voix était celle d’un chef ou un homme avec tout simplement beaucoup de pouvoir.

¨J’ai déjà vu mieux…que voulez-vous?¨demanda-t-il.

Soudainement, il se crispa. L’homme qui lui parlait venait déclater d’un rire…un rire à faire peur au Dieux.

¨Vous me faites assez rire, monsieur Dynomazukarue, dit-il sans aucune pointe d’humour. Vous savez de quoi vous avez l’air en ce moment? D’une pourriture qui traîne sur une souris, voilà de quoi vous avez l’air. Vous vous croyez plus malin que tout le monde en faisant marcher des affaires de débutants dans le monde du crime, vous vous croyez plus fort que tout le monde, vous et votre…séduisante et magnifique femme, je dois l’admettre.¨

Maïkaru sentie sa respiration augmentée d’un seul coup.

¨Vous n’avez rien fait à ma femme…n’est-ce pas?¨demanda-t-il anxieusement et en balbutiant légèrement.

L’homme poussa un rire bref et glacial.

¨Pas pour l’instant…¨répondit-il.

Maïkaru sentit son estomac se nouer.

¨Que voulez-vous de moi?¨

Il y eut un silence tout d’un coup dans sa prison et la voix recommenca à parler.

¨Voyez-vous, monsieur Dynomazukarue, avant je ne mettais pas trop mon nez dans vos affaires. Un marché de débutant, sans aucune expérience je dois dire, mais voyez-vous…vous commencez à me déranger…¨

Il s’arrêta laissant le temps au prisonnier de comprendre que son sort était déjà sellé.

¨Vous vous souvenez du camion que vous avez cambriolé la semaine dernière? Celui qui était rempli de bijoux? Et bien voyez-vous, il se trouve que bizarrement, mon camion que j’avais envoyé pour aller voler les bijoux d’un village d’à côté à mystérieusement été attaqué.¨

Le prisonnier tremblait de tous ses membres à présent. Il n’avait jamais su que le convoi que son équipe avait attaqué appartenait déjà à un groupe du vol. Et dans ce village la règle était claire dans le monde du crime. Celui qui tue ou vol pour obtenir ce qu’il veut assure la sécurité de son objectif rapporté par les autres groupes criminels.

¨Je vois que vous vous en souvenez, n’est-ce pas? Et j’imagine que vous connaissez la règle?¨

Maïkaru hocha la tête, même s’il ne savait pas si la personne à la voix mystérieuse pouvait l’entendre.

¨Bien, alors ce que nous allons faire est très simple, monsieur Dynomazukarue. Vous allez me rapporter tout ce que vous m’avez ravit et moi, en attendant, je jouïrais de la vie avec votre délicieuse femme, sommes-nous d’accord là-dessus?¨

Maïkaru tremblait de la tête au pied, et l’idée que sa femme et son futur enfant soit en danger, lui était impossible.

¨Mais…mais…ma femme est enceinte, monsieur…¨dit-il en blabutiant.

¨Tant mieux…elle ne sera donc pas enceinte de moi, mon cher…''

Puis, il partit d’un grand et long rire moqueur. Puis, après quelques minutes, il reprit son sérieux et dit d’une voix ferme :

¨Vous avez jusqu’à demain au couché du soleil pour me rapporter tous mes biens…je les compterais un par un s’il le faut, mais je les veux tous…votre femme est déjà entre nos mains, alors dépêchez-vous! Tic-tac-tic-tac¨ rajouta-t-il.

Maïkaru reçut une immense douleur au bas de la tête et quand il la releva, il était couché dans l’herbe de son village, la base de son cou en sang et une étrange douleur au cœur. Et il savait pourquoi il avait cette douleur. Il ne restait maintenant que très peu de temps pour sauver ce qui faisait de sa vie un paradis.



Pikchyu était assis sur une chaise, devant son lit, et regardait la femme qui y était étalée. Elle était belle, magnifique même. La déesse de la beauté devait sûrement s’être réincarnée dans ce corps radieux. Avec ses cheveux blonds en cascades, longs, presque jusqu’aux fesses, avec cette bouche fine, un petit nez, des beaux yeux de couleur vert, s’il avait bien vu, ses cuisses, ses seins et ses fesses fermes, et ce beau petit ventre. On n’y voyait pas encore la trace d’un début de grossesse. L’information de celle-ci devait être fraîche. Pikchyu se demandait comment cet amateur de bas étage pouvait posséder une femme comme celle-ci. C’était supposé être lui qui devait avoir une complice comme elle. En plus qu’il n’était pas trop vieux, dans la trentaine, et qu’il était encore un assez bel homme. Le chef regarda sa prisonnière avec un petit sourire. Il se souvenait de la réaction de ses hommes quand il leur avait demandé de l’assommer. Tous avaient répliqué, et Pikchyu leur avait donné raison, personne ne voulait amocher la beauté de cette jeune femme, on l’avait donc endormie dans son salon à l’aide d’un gaz. Doucement, il vit sa main glisser sur le tissu, se refermer, sa tête tournée à gauche et à droite. Son corps venait peut-être de reconnaître que ce n’était pas son lit habituel. Il vit ses yeux s’ouvrir doucement. Elle commenca à se lever et s’assit sur le lit. La jeune femme se frotta les yeux et regarda autour d’elle pour finalement les poser sur lui. Pikchyu sourit de plus belle. Il connaissait la réputation de cette jeune femme à ne jamais s’énerver et paniquer et à toujours bien analyser la situation.

¨Bonjour Yoshi…bien dormis?¨ lui demanda-t-il.

Elle hocha la tête et ne dit d’abord rien, puis après un long moment, elle lui demanda :

¨Qui êtes-vous?¨

¨Pikchyu Nomazukie…j’imagine que vous me connaissez?¨

Yoshi hocha la tête encore une fois et regarda le lit où elle était assise, puis c’est yeux se reposèrent sur ceux de Pikchyu, avec une lueur plus glaciale et déterminée qu’avant.

¨J’imagine que vous savez pourquoi vous êtes içi…je suis désolé de vous apprendre que, pour le moment vous êtes ma prisonnière…¨

Il se leva et vînt s‘asseoir près de la jeune femme, il posa une main sur sa cuisse et poursuivit :

¨…et que je suis fou de vous…¨

Il vît la gifle venir et arrêta sa main en serrant son poignet fortement. Elle avait essayer de le gifler, mais comme il était plus expérimenté en combat qu’elle, il avait vu le coup venir, et en fait, il s’y attendait. Yoshi le regardait avec une lueur de rage, de colère, de dûreté, une lueur qu’il adorait.

¨J’adore les femmes fortes…¨glissa-t-il tendrement à son oreille. Puis il la fit basculer sur le lit avec force. La jeune femme essayait de se dégager, mais elle ne pouvait rien contre lui.

¨On passe un accord tous les deux, veux-tu? Tu es consantante à me faire l’amour et moi…je te laisse toi et ton enfant en vie…jusqu’à ce que celui-ci naisse…cela te va-t-il?¨

Yoshi réfléchit un instant. Elle voulait au moins que son enfant naisse, pour qu’il puisse tenter de vivre une belle vie.

¨J’accepte…à la seule condition que quand il naîtra, vous ne le turez pas…jurez-le sur votre amour pour le crime…¨

Pikchyu la regarda un instant dans les yeux. Jurez sur l’amour pour le crime était gros, mais avait-il le choix? S’il voulait vraiment avoir plusieurs moments de plaisir avec cette femme, il fallait bien qu’il fasse comme elle le voulait. Et comment pouvait-il refuser cette demande à des yeux aussi magnifiques qui le fixaient? Il hocha la tête et dit :

¨Bien…je le jure sur mon amour pour le crime que je ne toucherais pas à un seul cheveux de ton enfant…¨

À ce moment-ci, il savait qu’il vivrait les plus beaux moments de sa vie. Il n’allait jamais les oublier. Elle s’était relevée vers lui et avait enlevé sa tunique. Il avait été muet de stupéfaction à la vue de ce corps parfait, mais le parfum enhivrant qu’elle dégageait lui fit revenir à la réalité. Il n’avait même pas eut conscience qu’elle avait enlevé sa chemise, tellement ses mains étaient douces. Elle l’embrassa et Pikchyu crut perdre la tête. Ses lèvres étaient chaudes, douces, terriblement enhivrantes. Une vraie cascade de chaleur où on aurait voulut s’y baigner à jamais. Ensuite, la jeune femme défit ses lèvres des siennes, caressa doucement ses bras, se coucha sur le lit et écarta légèrement les jambes. Pikchyu, quant à lui, avait l’impression d’être au septième ciel. Il tremblait de tous ses membres et la vue de Yoshi, étalée comme ça, les jambes écartées, qui l’attendait, redoubla son excitation. Il enleva son bas et se coucha sur elle. Ils se caressèrent et s’embrassèrent plusieurs fois avant de commencer à faire des mouvements de vas-et-viens et Pikchyu se dit à ce moment-là que finalement, Maïkaru avait bien fait de voler sa marchandise.



Yoshi dormait doucement dans les bras de Pikchyu pendant que celui-ci lui caressait le dos et s’enhivrait du parfum de ses cheveux. Quelqu’un tocqua doucement à sa porte et ceci réveilla légèrement la jeune femme. Pikchyu la fit réendormir en l’embrassant sur la bouche et émit un petit sifflement, pour dire à la personne qu’elle pouvait entrer. C’était un garde qui avait frappé à la porte et celui-ci entra. Il fit une révérence et regarda Yoshi.

¨Qu’y a-t-il Kaza?¨ demanda Pikchyu.

Le dénomée Kaza ne délaissa pas de regarder la jeune femme dans les bras de son maître et dit :

¨L’homme qui a volé notre marchandise voudrait s’entretenir avec vous monsieur…¨

Pikchyu réfléchit un instant, puis répondit :

¨Fouillez-le, et qu’il n’aille aucunes armes sur lui, ensuite, faites-le entrer içi…¨

¨Bien monsieur…¨ dit-il en faisant une révérence et en partant de la pièce.

Pikchyu avait hâte de voir la tête de ce petit amateur quand il le verrait avec sa femme dans ses bras. Doucement, il réveilla Yoshi et celle-ci le regarda un peu d’un air endormie.

¨Que se passe-t-il?¨

¨Tu te souviens, ma belle, de notre accord hier soir?¨

Yoshi hocha la tête et attendit la suite.

¨Il faudra que tu sois consantante jusqu’à la fin de tout ceci, c’est clair?¨

La jeune femme soupira et hocha la tête à nouveau. Pikchyu la recoucha sur le lit et glissa une main sur sa hanche.

¨En plus, je suis tombé amoureux de tes baisers…tu es sûre de ne pas vouloir rester avec moi, ma princesse? Je t’offrirais tout ce que tu voudras…¨

Yoshi répondit négativement.

¨Je ne veux pas vivre avec toi, Pikchyu…¨

Celui-ci eut un petit sourire triste et quand il entendit le garde emmener Maïkaru vers sa chambre, il commenca à embrasser tendrement Yoshi. Celle-ci jouait le jeu et le caressait, tout en répondant à ses baisers.


Quand Maïkaru arriva et vit ce spectacle, il faillit s’effondrer. Il aimait sa femme d’un amour fou, et elle était en ce moment même presque en train de faire l’amour dans les bras d’un autre homme.


Cet autre homme était partit dans un autre univers. Si Yoshi ne l’avait pas arrêté, il lui aurait probablement fait encore une fois l’amour tellement ses baisers, son corps et ses caresses l’avait emmené dans un autre univers. Quand il reprit ses esprits, il se retourna devant Maïkaru et sourit à la vue de la rage qu’il y avait dans ses yeux. De la rage, du désespoir, le sentiment d’abandon et la tristesse. Il adorait voir les gens soufrirent comme ça. Il avait l’impression qu’il se nourrissait de ça. Juste pour lui signifier que maintenant, Yoshi était à lui, il se recoucha sur le dos et la ramena dans ses bras. Celle-ci ferma les yeux, car elle ne voulait pas croiser le regard de Maïkaru, et elle caressa doucement ses bras.

¨Le couché du soleil n’est pas encore là…je peux donc la garder jusqu’à cette heure-ci…as-tu ma marchandise?¨


Maïkaru regardait intensement sa femme. Il n’en croyait pas ses yeux. Il se racla la gorge et répondit d’un ton brisé :

¨Oui…elle est déjà arrivée en bas de l’immeuble…¨

¨Bien…très bien…¨

Il regarda une autre fois Yoshi et releva les yeux vers Maïkaru tout souriant.

¨Tu ne la trouves pas magnifique et délicieuse comme ça? Dans mes bras? Elle m’a fait l’amour Maïkaru…plusieurs fois…c’est moi qu’elle a choisit…tu dois te faire à l’idée maintenant…elle ne veut plus de toi…¨

¨C’est faux, je suis sûr que c’est faux. Tu lui as obligée à jouer ce petit numéro, mais moi je sais que c’est faux!¨ s’écria-t-il en fureur.

Pikchyu ricana et dit :

¨Tu veux une preuve que j’ai dit la vérité? Yoshi….?¨ appella-t-il tendrement.


Celle-ci ouvrit les yeux et prit soin de ne pas croiser le regard de Maïkaru. Elle avait entendu toute leur conversation et elle savait ce que Pikchyu attendait d’elle. La jeune femme se coucha sur lui et l’embrassa tendrement. Lui posa ses mains sur ses hanches et se laissa faire. Elle l’embrassa dans le coup et partout sur son torse, en descendant de plus en plus bas. Elle arriva à son membre qui était déjà extrèment excité et commenca à le licher.


Pikchyu lui, jouïssait d’un plaisir énorme. Il avait sous les yeux le regard d’un homme voulant se crever les yeux à la vue de ce que sa femme lui faisait et Yoshi l’excitait énormement. C’était une vraie professionnelle, elle savait s’y prendre, et lui, il adorait ça. Quand elle prit son membre dans sa bouche. Il commenca à pousser des gémissements de plaisir.


Maïkaru, quant à lui, horrifié par ce qu’il voyait, quitta la pièce en courant. Il entendit derrière lui le rire glacial de Pikchyu et entendit après, l’ordre bref qu’il s’attendait à recevoir depuis un moment :

¨Tuez-le!!!¨

Maïkaru n’eut même pas le temps de sortir de la bâtisse que plusieurs shurikens s’enfoncèrent dans son dos, mais surtout dans son crâne et dans son cou.


Pendant ce moment-là, Pikchyu passait un autre moment de plaisir avec la femme qu’il aimait.



Yoshi regardait de droite à gauche. Personne. Et pourtant, elle les sentait. Elle sentait des tonnes de ninjas autour d’elle. La jeune femme n’avait même pas eu le temps de cacher sa nouvelle petite fille, son premier enfant, qu’elle avait ressenti la sensation d’être surveillée. Et pour une fois, elle paniquait vraiment, car elle ne savait pas à qui pouvait-elle donner son enfant. Elle n’allait certainement pas le laisser à cette pourriture de Pikchyu. Non. Hors de question. Les ruelles étaient brumeuses et Yoshi commencait à s’y perdre lorsqu’elle vit des lumières non loin de l’endroit où elle était. Elle s’approcha prudement et vit un temple. Un des plus anciens temples de leur village. On racontait partout que ce vieux temple habritait un vieux sage, un maître dans l’ancien Taijutsu. Peut-être que lui pourrait aider sa fille, et si c’était un maître et un grand sage, peut-être pourrait-il faire une bonne éducation à sa fille. Yoshi laissa sa fille dans un panier avec une couverture blanche qui la recouvrait et une lettre qu’elle avait faite bien avant. Dessus, elle y avait écrit tout ce qui c’était passé, et pourquoi elle devait abandonner sa précieuse et magnifique petite princesse. Elle avait les magnifiques yeux bleus de son père et ses cheveux blonds à elle. Mais elle avait surtout écrit dans la lettre que le bébé s’appellait Shyome Dynomazukarue. La jeune femme déposa le panier à la porte du temple, tocqua à la porte et se cacha dans les buissons. Elle vit une vieille dame sortir de la petite maisonnette et s’écrier de bonheur à la vue de cette magnifique petite fille, puis elle rentra avec Shyome.

¨Adieu, mon enfant…¨ murmura-t-elle, en laissant les larmes couler.

Yoshi courut dans les ruelles lorsqu’elle entendit plusieurs bruits. Elle se retournait plusieurs fois, mais ne voyaient rien. Une fois où elle se retournait pour voir qui avait rit derrière elle, Yoshi se heurta à :

¨Pikchyu!!¨ s’écria-t-elle.

Celui-ci baissa la tête sur le côté et lui sourit.

¨Bonsoir mon amour…¨ dit-il d’une voix tendre et douce. Il glissa sa main sur sa joue, puis glissa versson cou, pour finalement finir par caresser ses bras.

¨Même après un accouchement…tu es toujours aussi ravissante et parfaite…¨

Il posa tendrement ses lèvres sur les siennes et il commenca à l’embrasser passionnement. Yoshi, avec tous les ninjas qui l’entouraient, elle ne pouvait absolument pas riposter. Pikchyu posa doucement ses mains sur ses hanches et les attira à lui. Puis il murmura à son oreille :

¨Tu es sûre de ne pas vouloir vivre avec moi? Sinon, je m’ennuirais incroyablement de tes baisers…de ton corps…de tes cheveux…de ton sourire… de ton rire…et encore je n’ai pas fini…je t’aime ma belle Yoshi…je veux vivre le restant de mes jours avec toi…s’il-te-plaît…acceptes…je ne pourrais vivre sans toi..¨

Personne ne sait ce qui se passa après, mais une chose fut certaine. Shyome ne vît jamais sa mère.

Ton Test Rp fait maintenant 107 Lignes ! Tu gardes ton stade de Chunnin !

J'ai fini...et j'en compte 233..en tout...il me semble...

P.S.: Regaredez la fin de la page un aussi...

J'en compte 229, je suis d'accord pour Chef de Anbus mais par contre tu n'appartiendras au groupe Anbu mais tu ne seras pas dans le groupe de Kiri ?!

ok c'est beau, merci^^