Yo salut meizei...Fini vite tes tache du début téclater avec nous .....

C'était un soir, tout comme les autres, où Meizei discutait aux alentours d'un feu, sous le ciel noir éclairé que par quelques petites lumières, aussi appelées étoiles, qui s'étaient perdues dans le firmament. une légère brise rafraîchissante caressait le visage du jeune homme, qui semblait totalement nostalgique, alors que ses compagnons scandaient son nom pour qu'il raconte une de ses fameuses histoires vécues, qui mêlaient souvent mort, trahison et espoir écrasés. Ses compagnons, qui se régalaient de ce genre de choses en redemandaient à tout les soirs. C'est donc après cinq minutes insistances que finalement, le brouhaha provoqué par les discutions se dégrada lentement, jusqu'a laisser finalement un silence de mort. Meizei était debout, le manche de son épée à la main, la lame plantée dans le soir de l'endroit perdu ou ils se situaient-alors et dont ils se fichaient totalement du nom, et il fixa une étoile. Il prit finalement la parole.

"Vous savez, ce n'est pas à toutes les fois que nos tentatives de grimper les échelons de la gloire sont un succès..."

Déja ces quelques mots dits, il attirait l'attention de la vingtaine de guerriers ninjas qui l'écoutaient. quelques uns marmonnait des plaintes inaudibles, des affirmations comblée de tristesse ou bien de colère, mais d'autre portaient simplement toute leur attention au jeune homme qui avait su attraper leur intérêt.

"parfois c'est tout simplement de notre faute. Parce que..." hésita le jeune homme. "Parce qu'on était pas assez fort, assez talentueux, ou simplement pas assez déterminé, et qu'on as cèdé sous le poids de la tâche et qu'on l'as laissé tomber sur nous, et nous écraser..."

La raison de son hésitation était simple et fut prouvé quelques secondes après avoir énoncé cette phrase. Plusieurs des guerriers présent étaient des rejettés, des ninjas qui avaient faillis à la tâche, et que, pour éviter la honte qui leur serait attribué par leurs pairs, ne sont jamais retournés dans leur village. Sinon, ils était trop détesté par ceux de leur village qu'ils ne pouvaient plus vivre dans la constante intimidation et humiliation qui leur était livrée. Des membres du groupe se regardaient dans les yeux avec un regard rempli de tristesse, de désarroi, ou d'autres ne faisaient que serrer les poings et grinçer des dents pour renfermer leur immense colère.

"Mais D'autre fois..." Reprit le jeune homme, "Ce sont les actions des autres qui font que tout nos efforts ne mennent qu'a un pitoyable échec. Que ce soit un inconnu, un ami, un être aimé..."

"ou un père?..." coupa un autre homme, un peu plus agé que Meizei. Le jeune homme était habillé d'un long manteau d'un Rouge foncé comme le sang, sous lequel se cachait un chandail noir comme le ciel de la nuit, et d'une père de simples pantalons de tissu noir. L'homme était à peu près aussi grand que l'"enfant démon", mais sa musculature était bien plus imposante. Deplus, ses cheveux étaient bien plus courts et affichaient une teinte d'argent qui rapellaient les lames des sabres après un bon polissage. l'homme posa sa main sur l'épaule du jeune Ninja, lui sourit et lui fit un signe de tête en guise de salut.

"Heureux de te voir, petit-frère." Lui dit simplement l'homme, qui était un ami de longue date du Ninja Meizei, qu'il considérait comme frère. Bien sur, ce sentiment, cette affection était mutuelle, et les deux se voyaient comme de vrais frères, ce qu'ils ne peurent avoir pour les aider dans leur vie. "Heureux de Voir que tu est heureux, pour une fois!" ajouta l'homme sur un petit ton empreint d'humour.

Meizei le prit affectueusement dans ses bras et le colla quelques secondes contre lui. Puis, il le relâcha de son étreinte, lui serra la main et lui sourit.

"Moi aussi je suis heureux de te voir, Kaîze, voila pourquoi je suis de bonne humeur et en pleine santée mentale ce soir!" Lui répondit le jeune homme, avec un ton des plus sérieux, mais aussi avec une grande lumière dans ses yeux, qui démontraient à son "Grand-Frère" qu'il ne mentait pas. En effet, il y avait si longtemps qu'il ne l'avait pas vu, que c'est son plus cher ami qui occupaient toutes ses pensées à ce moment. "Allez, va prendre place avec les autres, je vais vous raconter une petite histoire tirée directement de ma courte et humble vie!"

à ces mots, l'homme acquiessa et alla s'asseoir avec ses compatriotes, qui allaient tour à tour le saluer, lui serrer la main, lui donner une petite tape dans le dos, et parler de tout et de rien. Puis, Meizei rive son regard sur le firmament, puis les ferma et prit une grande bouffée de l'air frais, qui insufla une nouvelle vie dans ses poumons, puis il réouvrit les yeux et repencha son regard vers ses camarades d'armes. Il porta la lame de son épée à l'horizontale à la hauteur de son torse, puis vint la caresser doucement de tout le long de la lame, avec son pouce et son index. Puis il ouvrit la bouche. Immédiatement, tout le monde se tut. "Alors comme je disait...."

"Un bon jour, comme vous le savez tous, je n'était qu'un simple ninja de... de Konoha. C'était un peu après la tentative de meurtre de mon père envers moi, Le jour précédent celui ou je vous ai trouvé, vous, mes frères. Je vivait une vie plutôt perturbée, et mon esprit était peu clair. Les gens du village me détestaient de plus en plus à cause de mon étrange comportement, et la manière dont j'abordait ces gens. C'est dont à ce moment que j'ai décidé de m'exiler. Mais ou? je ne savait pas, alors je me suis tout simplement éxilé du village de Konoha. Je voyagait n'importe ou sans aucune raison. En fait, oui, j'avait une raison... c'est que j'était une locque, un rejet de la société et que... que personne ne m'aimait..."

Le regard du jeune homme scrutait maintenant les fins grains de sable du désert, ce regard mélancolique accroché à son visage, ses airs de jeunesse entèrés sous les plis créés par sa peine et sa souffrance. Ses mots semblait de plus en plus forcés, et il clairait souvent sa voix. Puis, après une petite pause, il reprit :

" Un jour, parcontre, jai rencontré un homme. Un homme, en fait, plutôt étrange. Il était aussi grand que moi, ses cheveux longs et bleus, son visage ahrobrait plusieurs cicatrices, mais ces cicatrices ne le rendaient pas plus laid, au contraire, elles amplifiait l'intensité de son regard. Ses yeux bleus mi-clos portaient pourtant un regard Féroce et remplit d'assurance et d'intensité. L'homme était vêtu de longues robes aussi bleues que ses cheveux, et portait une chaine argenté qui reflètait la lumière du soleil avec grande force. En fait, il m'était dur de garder mon regard en direction de cette chaine en question, qui pendait de son cou. Tout ceux qui rencontrait donc cet homme, qui devait avoir à peu près une trentaine d'année, ressentait sa présence en eux. Cet homme continua donc à marcher en ma direction. Je tentait de l'esquiver de mon regards, mais c'était impossible. aussi, je tentait de marcher loin de lui, mais mes pas se dirigait toujours dans son angle, mais jambes incontrôlable. Puis, évitablement, je fini face-à-face avec l'homme. Il me fixa dans les yeux. Je revit tout les actes horribles de mon père, et eut envie de pleurer... Puis... l'Homme me prit dans ses bras...."

"Tu souffre énormément, jeune homme..." Me dit l'étranger

"Oui, je souffre... Je souffre jour et nuit, je sens mes entrailles sortir de mon corps pour s'enfuir de l'horrible Réalitée qu'est ma vie..."

"pourtant, la plus grande blessure n'est pas visible sur ton corps, ai-je raison?"

"Oui vous avez raison... Son kunai s'est planté dans mon estomac, mais c'Est mon coeur et mon âme qui ont souffert..."

"Cela se voit dans ton regard. Je voit ton désarroi. Tu est perdu, n'est-ce pas?"

*Pourquoi est-ce que je lui dit tout ça? Pourquoi est-ce que je ne suis pas capable de garder le silence?* me dit-je, mais le seul mot qui sortit de ma bouche fut...

"oui..."

"Alors, tombe à tes genoux, et laisse moi te guider..."

J'essaya de retenir mon corps, mais je tomba au sol, et l'homme me prit dans mes bras. Il me transporta longtemps à travers le désert, et me laissa au sol après vingt-quatre heures moins cinq minute de marche. Puis, il me dit

" Quand cette grande journée de souffrance provoquée par tes échecs sera terminée, la lumière te trouvera. À toi de lui tendre la main..."

Et c'est cinq minutes plus tard que je vit arriver une petite bande sans nom, qui me cueillit, et qui fit de moi son chef... C'était vous. C'est vous qui m'avez sauvé mes frères... Voilà l'histoire que vous vouliez depuis tant de temps...

Suite à l'histoire, l'audience était restée silencieuse. Ce n'était pas tout le monde qui comprenait le sens de cette histoire, vu que c'était en même temps une espèce de Métaphore, mais une chose est sur, c'est que tous voulaient aller prendre le jeune homme dans leurs bras suite à cette histoire. Ils ne savaient pas pourquoi, mais cette histoire les avait touchés, et émus. Un par un, les frères d'armes allèrent se serrer la main ou se lancer dans une accolade.

Fin